tu devrais savoir
En automne les feuilles rougissent et tombent des arbres. En hiver il
neige et on célèbre la magie des fêtes. Au printemps les bourgeons
fleurissent et naissent les premiers amours. En été le soleil brille et
nos envies de voyages nous reprennent. Et c'est normal...
Mais si je te disais que sans toi je ne me sens plus vraiment heureuse, qu'avec toi je suis simplement bien, que j'aime ton odeur, ta chaleur, si je te disais en détail et avec autant d'amour que cela est vrai toutes les choses qui me plaisent chez toi et qui te rendent si spéciale pour moi est-ce que ça serait toujours normal ?
Je pense que à ta place je serais effrayée parce que je douterais. Je douterais de toi, de nous et de notre amitié. Je pense que je me sentirai un peu trahie, comme si tu avais profité, voir abusé, de moi. Mais si ça peut te rassurer, moi aussi j'ai très peur, ce qui m'effraye le plus c'est l'anormalité de la chose. Peut-être que j'ai tord, que tu saurais quoi faire, que c'est pas si étrange, que je me fais des montagnes de rien... Mais je suis morte de trouille et même si tu as toujours su m’apaiser et que je me suis toujours sentie en sécurité avec toi, j'ai le sentiment de devoir protéger mon secret, même si tu pourrais m'aider, même si c'est dangereux...
J'ai tellement peur que tout s’effondre, que tu m'en veuilles et même si ça n'arrangera pas les choses, même si je ne sais pas vraiment comment, il fallait que tu le saches: Je t'aime.
Mais si je te disais que sans toi je ne me sens plus vraiment heureuse, qu'avec toi je suis simplement bien, que j'aime ton odeur, ta chaleur, si je te disais en détail et avec autant d'amour que cela est vrai toutes les choses qui me plaisent chez toi et qui te rendent si spéciale pour moi est-ce que ça serait toujours normal ?
Je pense que à ta place je serais effrayée parce que je douterais. Je douterais de toi, de nous et de notre amitié. Je pense que je me sentirai un peu trahie, comme si tu avais profité, voir abusé, de moi. Mais si ça peut te rassurer, moi aussi j'ai très peur, ce qui m'effraye le plus c'est l'anormalité de la chose. Peut-être que j'ai tord, que tu saurais quoi faire, que c'est pas si étrange, que je me fais des montagnes de rien... Mais je suis morte de trouille et même si tu as toujours su m’apaiser et que je me suis toujours sentie en sécurité avec toi, j'ai le sentiment de devoir protéger mon secret, même si tu pourrais m'aider, même si c'est dangereux...
J'ai tellement peur que tout s’effondre, que tu m'en veuilles et même si ça n'arrangera pas les choses, même si je ne sais pas vraiment comment, il fallait que tu le saches: Je t'aime.
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